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 Judah J. Jenkins.

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Judah J. Jenkins
Judah J. Jenkins
Jude ∴ Paranoid Android


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 30 NÉ LE : 24/01/1994
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 25/05/2011
NOMBRE DE LETTRES : 19


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
RELATIONSHIP:
POUVOIRS: Contrôle de la Nature - Séismes involontaires

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeMer 25 Mai 2011 - 16:55



Judah Jack Jenkins
ft. Hunter Parrish


©tumblr

ÂGE 21 ans DATE DE NAISSANCE 5 Décembre 1989 LIEU DE NAISSANCE South Orange, New Jersey ÉTAT CIVIL Célibataire EMPLOI Livreur de pizza CLAN Mal GROUPE Bad Heroes
POUVOIRS — Contrôle la Nature (les arbres généralement). Séismes involontaires.
CARACTÈRES — Loser par nature - Orgueilleux - Mythomane - Impulsif - Charismatique - Extrêmement Cultivé - Panthéiste.



Il était une fois...
(NOTE de l’AUTEUR : N’oubliez pas que ce personnage est mythomane. Il ment assez fréquemment sur des choses futiles et sans intérêt, mais il est persuadé que ce qu’il dit est vrai.)

- 19H12
« JUDE ! Une pizza Beige, une Diavola et une Suprême au 235, Fairfields Avenue ! Dépêches toi, ces gens n’attendent pas. Et oublie pas de demander ton pourboire, on est à court de monnaie dans la caisse. Allez ! Bouge ! »
Ma vie se résume à ceci : de la pâte à pain étalée en cercle, barbouillée de sauce tomate et d’ingrédients divers et variés... Je monte sur un scooter premier prix peint en rouge, arborant le nom du fondateur de cette chaîne de pizzerias, qui fête son siècle et demi depuis plus d’une semaine… Et je livre des pizzas à des américains moyens, consommateurs, hypocrites, bourgeois, sans aucun goût. Non mais sérieusement, quel genre de personne préfère commander une pizza dite « beige », qui n’est faite que de pâte ? Sérieusement ! Ca n’a absolument aucun sens ! En plus, Fabrizio, l’américain standard se clamant sur tous les toits d’origine italienne alors que sa famille a émigré il y a de ça environ 300 ans en Amérique, plus aucune traces italiennes ne subsistent donc en lui et en plus ce prénom c’est sa mère qui l’a choisit parce qu’elle a flashé sur un acteur dans un vieux feuilleton sur une chaîne à trois chiffres. Je sais, c’est assez improbable de savoir tout ça sur son boss… Mais parfois, pendant les sorties entre collègues, je m’incruste, j’écoute… Et j’apprends des choses, certes plus ou moins intéressantes mais… Bref tout ça pour dire qu’en plus, Fabrizio me vole mon pourboire pour alimenter la « caisse », qui se trouve être en vérité son portefeuille. Insupportable. Mais que peut faire le pauvre livreur face au parrain de la pizza ?


Le temps s’est arrêté. Tout s’est passé lentement. Je suis furieux, je roule vite. Je ne m’en rends pas compte, perdu dans mes pensées. Je traverse au feu rouge. Pas le temps de regretter mon geste. La voiture sponsorisée par RedBull fonce à toute vitesse. Mon scooter ne fera pas le poids. Je regrette de ne pas avoir demandé une voiture de fonction à mon entretient. Je m’encastre dans la portière bleue. Je traverse la voiture. Tout s’assombrit. Suis-je par terre ? Je saigne du nez ? Je suis défiguré ? Comment sont les pizzas ? Je dois livrer les pizzas, ces gens n’attendent pas…



- 15h46
J’ouvris les yeux sur une pièce immaculée. Tout me revint en tête en un éclair : la voiture RedBull, mon scooter en pièce, les pizzas sur la route, la pluie battante, le feu rouge. Le feu rouge. Fabrizio. Une odeur de désinfectant puissant a nidifié dans mes narines. Je suis à l’hôpital. Outre mon mal de crâne épique et mon besoin de doliprane, mon premier reflexe fût de chercher un miroir. Mon visage est mon plus grand atout, mon véritable gagne-pain ! Aussitôt, comme si l’action de poser un pied sur le sol était un détecteur de mouvement alarmant contre les patients, une infirmière, plutôt mignonne il faut l’avouer, accourra dans ma chambre. Elle me conseilla de me recoucher et m’injecta ce qui devait être une bonne dose de morphine. Je lui demandai un miroir. Elle me le déconseilla. Je n’le sens pas.

J’ai fais un rêve étrange et pénétrant (pour ne pas citer un grand poète français du XIXe siècle), durant mon demi-coma, demi-sommeil provoqué. Ce n’était pas tellement un rêve en fait. Pour être tout à fait honnête, c’était un flash-back. Comme si je mourrais et que ma vie défilait devant mes yeux. Mais seulement une partie de ma vie. La découverte de mes talents spéciaux… Une période qui m’a beaucoup troublée et pendant très longtemps. A dire vrai… Ce fût un véritable traumatisme. Ou peut-être suis-je juste trop faible. Mais j’en doute beaucoup !

En somme, à l’âge de sept ans, j’étais déjà un magnifique jeune garçon, ambitieux et extrêmement talentueux. Mes parents me chérissaient, j’étais l’enfant-roi. Je n’ai jamais été sportif vous savez, j’ai toujours détesté courir, suer, me fatiguer pour rien. Mon corps de statue grecque ? C’est tout à fait naturel. Mes grands-parents maternels sont Suédois, ça doit venir de là. Bref, je n’ai jamais été un grand sportif, même si j’ai un don que je refuse obstinément d’exploiter. Et pourtant, ce jour là… Ce jour-ci et pas un autre, je jouais au football avec un certain nombre de mes copains de l’époque, sur un terrain particulièrement isolé, en plaine. La fatalité, le karma, le destin, ma prédestination de héros du théâtre tragique antique, appelez ça comme vous le voudrez, de la façon que vous préférerez… Mais en ce 18 mai 1997, je jouais au football avec des amis. A la cinquante-sixième minutes, il devait être environ 18h vu la hauteur du soleil, j’étais en nage, je souhaitais en finir, j’allais marquer l’énième et dernier but qui mènerai mon équipe à la victoire. C’est alors que mon pied gauche toucha le sol à environ 15km/h et c’est là que la terre du New Jersey se mit à trembler comme jamais. Une fosse se creusa dans le sillage de mon pied, je m’arrêtai net, elle se propagea en une multitude de bras, comme un delta de terre. Elle ouvrit sa large gueule au ciel, emporta des camarades dans son inspiration. L’un d’eux mourra. Enterré vivant. Asphyxié en somme. Je disais donc : cette période me traumatisa. A partir de ce moment, quelque chose devint net dans mon esprit. Tout mon corps le ressentit. Jamais, Ô grand jamais, je ne referai de course dans ma vie, ni de sauts. Ca peut paraître simplet dit comme ça et pourtant… Furieux contre tout, je marchai rapidement vers la forêt en quête d’un refuge où je pourrai arrêter de me ressasser ce moment en boucle, où les cris d’horreur de mes camarades ne me suivrai pas. Je me suis assis entre deux racines d’un énorme saule centenaire. Je n’ai absolument pas pleuré, l’effet du choc probablement, mais j’étais déjà quelqu’un de très impassible : pleurer n’était et n’a jamais été une habitude chez moi. Après avoir passé une demi-heure à tenter de ma calmer, j’ai vu qu’il faisait nuit. J’entendais les cris des loups. Les hululements des hiboux. J’entendis, particulièrement près, un léger grognement, aiguë. Je levais la tête. Un louveteau. Ha Ha Ha ! Un bébé loup ! Je lui jetai des pierres à la figure pour le faire partir, me foutant ouvertement de lui. Je ne me doutais pas qu’à quelque mètre, sa mère rôdait. Elle me traquait. Restant tout à fait calme et maître de mes émotions, je murmurai tout de même à voix haute :
« Aidez-moi. »
Sans que cela me choque le moins du monde, l’arbre dans les racines duquel je m’étais refugié quelques minutes plus tôt enveloppa ses branches autour de moi, me portant en un cocon réconfortant en son centre. Son bois devint ma chair. Sa sève devint mon sang. Je sentis une nouvelle vigueur m’emplir. Je m’endormis, enveloppé dans ces branches chaleureuses, en sécurité et serein, protégé.
Le lendemain, la planète entière était au courant de la catastrophe. On parlait de « problème écologique », d’ « Etat instable », etc. Je rentrai chez moi vers six heures du matin. Mon père et ma mère, terriblement inquiets, me questionnèrent, évidemment. Je répondis honnêtement, sans mentionner ma relation avec l’arbre. A l’école, on m’évita comme la peste, on me chassa, on me surnomma « The Doomed », le condamné, le maudit, les parents les plus puritains interdirent même leurs enfants de me fréquenter, pendant certainement que j’étais le fruit du diable. Au bout de trois mois, mes parents décidèrent de m’envoyer en pension à Pasadena, Texas. J’y passais le plus clair de mon temps à m’entraîner. Je parlais aux plantes principalement. Je refusais les cours d’éducation sportive. Je sortais la nuit pour dormir dans les arbres. Les autres enfants m’excluaient, ils pensaient que j’étais bizarre, inintéressant. Au bout de dix ans, après avoir testé toutes les pensions du New-Jersey, toutes ses écoles, j’en eu plus qu’assez de supporter ces gens. Je fis mes adieux à mes parents, au New-Jersey, à mon ancienne vie. J’avais 17 ans tout ronds.

J’entendis parler de Nicholas Archibald aux environs de Tallahassee. On disait que c’était un homme mystérieux, puissant, aux gestes honorables. C’est dans cette ville que j’entendis pour la première fois « Bâton-Rouge… »
Ce fut la dernière halte de mon périple, ma Mecque en quelque sorte, le but enfin trouvé d’un voyage qui n’en avait aucun. Bâton-Rouge m’obsédait, ce nom m’intriguait, je le répétais sans arrêt, je devais avoir l’air d’un fou. Je marchais toute la journée, m’arrêtant seulement pour consulter ma carte, boire ou avaler un bout de pain. Je dormais trois heures par nuits pas plus, m’obligeant à continuer pour mon Graal. Et enfin, j’y arrivai. Bâton-Rouge m’ouvrit néanmoins ses portes comme on ouvre la sienne à un gueux. Les gens m’ignoraient, me bousculaient et l’atmosphère me paraissait lourde, mystérieuse, mauvaise. Je dormais toujours dans les arbres, étant sans logements puisque sans travail et sans possibilité d’en trouver un, vu mon hygiène des derniers mois. C’est un cercle vicieux. Les sans-abris me regardaient, extrêmement intrigués mais je n’y prêtais jamais attention. Jusqu’à ce qu’un matin, je fis deux pas et me fit littéralement kidnapper par deux d’entre eux. Leurs mains crasseuses s’écrasèrent sur mes tempes, bloquèrent ma bouche et maîtrisèrent mes bras en même temps. L’odeur du chloroforme, la vue du parc, ce furent mes derniers souvenirs.

Je me réveillai le lendemain matin, allongé sur le sol pour le moins inconfortable (du parquet plein d’échardes) d’une pièce circulaire. Il y avait un lit, mais vraisemblablement personne ne s’était donné la peine de m’y installer. Le matelas avait l’air tellement ferme et confortable… Les draps semblaient être de la soie ou en satin, couleur taupe. Les papiers peints des murs étaient vifs, dans les tons verts feuille, de plus le soleil les illuminait abondement, de vieux posters de nature et des imitations de Van Gogh y étaient accrochés. Ma tête heurta un guéridon en bois massif, du chêne à vu d’œil, je laissai s’échapper un juron et un gémissement de douleur. Mon dos, ma nuque et l’entier côté gauche de mon corps étaient douloureux. Le jour semblait s’être levé depuis un bon moment. J’essayai de me frotter les yeux mais ma main gauche était enchaînée au sol. Ma jambe du même flan également. Une voix que je n’oublierai jamais me tira de cette torpeur.

« Bonjour, Judah. »

J’écarquillai les yeux à leurs maximum. Cette femme était sûrement la plus magnifique qu’il m’eut été donné d’admirer de toute ma vie, sans hésitation.
« Je m’appelle Alison O’Neill. Je te préviens de suite, je connais tes moindres désirs, tes plus grandes peurs, alors retiens-toi de penser n’importe quoi car je le saurais. Mes deux amis et moi-même –elle montra deux hommes en smoking, je devinai assez facilement que ces bonhommes étaient mes ravisseurs— nous te traquons et t’observons depuis quelques jours. Quel âge as-tu ? »
Je lui répondis, naturellement. « 18 ans. »
Généralement, je n’aime pas étaler mes faiblesses, mais dans ce cas-ci… Ma voix était chevrotante, comme pourrait l’être celle d’une femme adultère sous le regard de son époux. Je couvrais la totalité de la palette des émotions humaines. Ca a d’ailleurs toujours été le cas quand il s’agissait d’Alison.
« Tu es encore un enfant… C’est si triste, ce qu’il t’arrive. Mais je ne veux pas en entendre plus, si tu veux me dire quoi que ce soit, pense-le mais évite de m’interrompre à haute voix. Au moins quand tu le pense je peux l’ignorer… »
Elle se leva, ferma les persiennes, alluma une bougie parfum bois de cèdre, fit signe aux deux hommes de s’en aller, détacha mes liens, me fit signe de m’assoir sur le lit.
« Voilà qui est bien mieux. Mon chéri… »
Je frémissais.
« Arrête de croire que tu es Superman et que je suis ta Lois Lane, c'est faux. »
Pitié, tu mens!
« Même dans tes pensées, évite de me tutoyer… Quoi qu’il en soit, je sais que tu es spécial. Tu contrôle les arbres, n’est-ce pas ? Hm. –elle esquissa un sourire- Moi, comme tu as pu le deviner, je lis dans les pensées. Un don assez utile, ma foi. Pour résumer, les deux hommes que j’ai fais sortir font partie des Bad Heroes de cette ville. Leurs missions à eux tout particulièrement, est de dénicher des gens dans ton genre. Des gens qui… Pour une raison ou pour une autre, ont un talent insoupçonné et atterrissent à Bâton-Rouge, une ville où manifestement tous les marginaux de cet état se réunissent. Pour ma part, je suis une des Dictator Of Evil. Je travaille pour le compte d’Archibald Corporation. Tu en as entendu parler je suppose, tout le monde en entends parler. Bien. Tu en sais déjà beaucoup. Mais je ne pense pas que tu sois une menace. Si ? »
Non…
« Tu flippes, je le vois : tu flippes à mort. Ha Ha Ha ! Ahem, bref. On est rarement autorisés à rire dans ce métier. Je me propose pour t’aider à développer tes capacités. A maîtriser tes talents, qui me semblent forts prometteurs.
-Non merci. J’ai eu environ 10 ans pour les étudier. Je suis calé.
-Ce n’était pas vraiment une question. Je suis une volontaire désignée par Mr. Archibald en personne. Alors tu vas m’obéir ou mourir. T’as fais ton choix ? Je savais que ce serait vite fait.
»
Après cet entretient, elle m’entraîna, comme prévu. Elle découvrit que je contrôlais également les fleurs et les brins d’herbes. Et, malheureusement, elle eut aussi un aperçu de mes séismes. Elle se montra néanmoins très impressionnée et indulgente et tenta de me faire contrôler cette partie. Désormais je peux courir mais je reste dans l’impossibilité de sauter. Une fois… Elle courrait vers moi, les yeux pleins de larmes, se frappant l’estomac à grands coups. Elle était enceinte. De moi. Vraiment. Elle m’avoua qu’elle avait demandé à la Corporation de lui enlever cette mauvaise herbe de l’utérus mais qu’ils n’avaient pas acceptés. Je bondis de joie intérieurement, pour ma part. Cet enfant arriva au bout de 8 mois. Mais j’avais seulement 19 ans et avec sa condition de Dictator elle ne pouvait pas le garder avec elle. Elle me chargea de l’abandonner sur le perron d’une maison, ce que je fis. Evidemment, j’étais déchiré intérieurement et une partie de moi culpabilisait énormément mais je comprenais parfaitement la nécessité de la chose. Un mois après, à la date exacte initialement fixée de l’accouchement, elle se fit tuer par les deux hommes en smoking. Quelqu’un avait prémédité le meurtre pour que le bébé ne naisse jamais. Un jour, je reçu une lettre avec le cachet de la Corporation. Des condoléances, des mots vides de sens et une affectation en tant qu’espion Bad Heroes, je devais être un traître et apprendre le plus de choses possibles. Ainsi que rapporter toutes ces informations à une certaine adresse. Joint avec, mon contrat de livreur de pizza et un chèque à plusieurs zéro pour me procurer un nouveau toit. L’adresse où je devais livrer mes informations ? 235, Fairfields Avenue, un pavillon de résidence préfabriquée dont je n’ai jamais aperçu les vrais propriétaires.


Sorry, avant de continuer tu dois passer à l'interrogatoire
POUR OU CONTRE LES "HÉROS" ? — On ne m'a pas donné le choix. Mais le côté Obscure me va parfaitement...
COMMENT ACCEPTES-TU TA NOUVELLE VIE ? — ... En souriant aux mangeurs de pizza ?
TU FAIS QUOI DE SPÉCIAL TOI ? — Je dors dans les arbres. Enfin, c'est passager. Moi, je trouve ça plutôt spécial, même pour quelqu'un de normal...
TU AIMES ET DÉTESTES QUOI ? — J'aime ma condition de larbin du Mal qui me permet d'être relativement neutre et ne pas sombrer dans la démence de la vengeance. Je déteste être pris pour un acteur de film X.
TA PLUS GRAND FAIBLESSE, C'EST QUOI ? — Définitivement : les tremblements de terre.
TA PLUS GRANDE PEUR C'EST QUOI ? — J'ai peur que les gens me voient comme moi je les vois.

Et toi ? Oui toi derrière l'écran.
PSEUDO/PRÉNOM — Alix
ÂGE — 17
PAYS — France
OÙ AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? — J'ai succombé à la tentation après les discussions entre Khallia A. Greene et Ella A. Smith.
COMMENT LE TROUVES-TU ? — N'ayant aucune expérience en forum, ou pratiquement pas, je le trouve évidemment TROP COOL jumping_la
ACTIVITÉ — Je tente de cultiver mon imagination fertile. Bien sur cette phrase n'est là que pour le jeu de mot. A part ça, je passe 6h en cours de français par semaine.
[ ] ACTIF (minimum cinq connexions par semaine)
AUTRES/COMMENTAIRES ? — Judah, avec un H j'insiste, est un paradoxe vivant, il frôle la schizophrénie. Je laisserait votre esprit bourgeonner sur cette idée... albino



Dernière édition par Judah J. Jenkins le Ven 27 Mai 2011 - 13:49, édité 4 fois
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Khallia Aileen Greene
Khallia Aileen Greene
La mort n'est pas une chose si sérieuse ; la douleur, oui.


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 29 NÉ LE : 26/12/1994
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 10/05/2011
NOMBRE DE LETTRES : 52
OÙ ES-TU ? : Oh sans doute au travail...


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
RELATIONSHIP:
POUVOIRS: Contact douloureux - Contrôle de la douleur

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeMer 25 Mai 2011 - 17:01

Chic !! Bienvenue *même si je suis toute nouvelle* Embarassed
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Alexielle S. Eckhart
Alexielle S. Eckhart
Alex ♦♦ Animal I have become ▬


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 32 NÉ LE : 13/06/1992
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 16/04/2011
NOMBRE DE LETTRES : 124
OÙ ES-TU ? : Quelque part à Baton Rouge


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
RELATIONSHIP:
POUVOIRS:

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeMer 25 Mai 2011 - 17:08

*Se retient à grand peine de chanter du Lady Gaga*

Weeelcooooome! FeelingFree
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Ella A. Smith
Ella A. Smith


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 30 NÉ LE : 10/06/1994
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 28/03/2011
NOMBRE DE LETTRES : 152
OÙ ES-TU ? : France


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
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POUVOIRS: Contrôle & Génère l'électricité

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeMer 25 Mai 2011 - 17:35

xD OUI !!!!!! BIENVENUE !! <3
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Judah J. Jenkins
Judah J. Jenkins
Jude ∴ Paranoid Android


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 30 NÉ LE : 24/01/1994
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 25/05/2011
NOMBRE DE LETTRES : 19


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
RELATIONSHIP:
POUVOIRS: Contrôle de la Nature - Séismes involontaires

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeJeu 26 Mai 2011 - 0:41

Merciiiii FeelingFree
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Kaylessa D. Hayward
Kaylessa D. Hayward
CO-ADMIN let chaos entwine


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 34 NÉ LE : 06/06/1990
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 29/01/2011
NOMBRE DE LETTRES : 887


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
RELATIONSHIP:
POUVOIRS: aucun

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeVen 27 Mai 2011 - 11:04

BIENVENUE SUR SMH !!! cheers

Merci de ton inscription !! Very Happy
J'ai lu ta fichette et j'ai adoré ! J'aime beaucoup son pouvoir ainsi que son prénom (mouhahaha) !! Tu m'as bien fait rire dans "ce qu'il n'aime pas" xD Enfin bref ! Tout ça pour dire que je te valide !!! boogie N'oublie pas de recenser ton avatar (il joue dans le nouveau film de X-men non ?) et ton pouvoir ! Et par-dessus tout, amuses toi bien ^^

(désolé de te valider seulement aujourd'hui.... Je me suis fait opéré hier et j'avais la tête dans les vapes *_* lolll)
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Judah J. Jenkins
Judah J. Jenkins
Jude ∴ Paranoid Android


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 30 NÉ LE : 24/01/1994
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 25/05/2011
NOMBRE DE LETTRES : 19


SI JE TE CONTAIS UNE HISTOIRE
RELATIONSHIP:
POUVOIRS: Contrôle de la Nature - Séismes involontaires

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeVen 27 Mai 2011 - 11:55

Ooooh merci :3.

J'vais faire tout ça tout de suite !

J'ai découvert ce mec grâce à Weeds, il joue un ado hyper niais mais bon, quand même, voilà quoi lovelyspazzz
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Judah J. Jenkins
Judah J. Jenkins
Jude ∴ Paranoid Android


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 30 NÉ LE : 24/01/1994
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 25/05/2011
NOMBRE DE LETTRES : 19


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RELATIONSHIP:
POUVOIRS: Contrôle de la Nature - Séismes involontaires

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeVen 27 Mai 2011 - 13:51

+ (désolé du double post), j’espère que tu t'es bien remise de ton opération shack !
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Ingrid A. Simmons
Ingrid A. Simmons
FONDATRICE i'm not a bulletproof


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 35 NÉ LE : 07/02/1989
Féminin
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 13/11/2010
NOMBRE DE LETTRES : 833
OÙ ES-TU ? : À la morgue, là où tu m'as envoyé, pensant avoir réussit ton coup


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POUVOIRS: régénération cellulaire

Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeVen 27 Mai 2011 - 20:31

OOOH ! Grand désolé pour le retard >< Je sais pas pourquoi je suis pas venu depuis 2 jours sur le forum ... mais c'est nul
Bienvenue et merci beaucoup de ton inscription sur le forum ! Si tu as des questions, n'hésites surtout pas. Je te souhaite de bien t'amuser parmi nous ^^
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Emma Lynn Bowen
Emma Lynn Bowen
EMY Always stay Strong ••


Judah J. Jenkins. 2lld7wm

J'AI : 35 NÉ LE : 05/09/1989
ARRIVÉ À BÂTON-ROUGE : 28/03/2011
NOMBRE DE LETTRES : 115
OÙ ES-TU ? : Chez moi !


Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitimeSam 28 Mai 2011 - 9:45

Bienvenue sur le forum !
Elle est génial ta fiche !!
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Judah J. Jenkins. 2lld7wm



Judah J. Jenkins. Vide
MessageSujet: Re: Judah J. Jenkins.   Judah J. Jenkins. Icon_minitime


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Judah J. Jenkins.

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